Les auteurs, Yaëlle Amsellem-Mainguy, chargée d’études et de recherche à l'INJEP et Arthur Vuattoux, ingénieur de recherche à l’École des hautes études en santé publique, chercheur associé à l’INJEP, livrent les résultats d'une enquête menée pendant un an auprès de jeunes adultes vivant en France métropolitaine sur leur usage d'Internet en matière d'information sur la santé et la sexualité.

Selon le Planning familial, l’éducation à la sexualité est le point d’ancrage de toutes les thématiques de la « santé sexuelle » : sans informations objectives sur l’avortement, la contraception, les IST, le plaisir, l’orientation sexuelle, les violences… Pas de choix éclairés !  

Ce référentiel présente la démarche proposée lors des séances d’éducation à la sexualité en s’appuyant sur une définition globale et positive de la sexualité. Il décline également les connaissances scientifiques ainsi que les cadres internationaux, européens et français, qui permettent de garantir la qualité des interventions du Planning.

Le Mouvement Français pour le Planning Familial (MFPF) est une association féministe et d’éducation populaire composée de bénévoles, de salarié.e.s et d’adhérent.e.s. Il est présent sur tout le territoire (métropole et Outre-mer), à trois échelons : national, régional et départemental.

La feuille de route nationale 2018-2020 pour la promotion de la santé sexuelle a été publiée qui définit 6 objectifs et 26 actions à mettre en œuvre sur trois ans.

Le premier axe de cette stratégie entend "investir dans la promotion en santé sexuelle, en particulier en direction des jeunes, dans une approche globale et positive". Pour ce faire, le ministère préconise de : 

La jeunesse, la sexualité et la violence ont au moins un point commun : ce sont des catégories qui sont tenues sous haute surveillance. Les grands interdits sexuels ont faibli dans nos sociétés et la sexualité juvénile, détachée du cadre affectivo-conjugal, est aujourd’hui admise. Mais les normalités sexuelles, loin d’avoir disparu, sont en réalité multiples et elles ne vont pas toujours dans le sens d’une sexualité égalitaire (entre les sexes) et adaptée (suivant les âges). 

Souvent définis seulement par les actes qui les ont menés en prison, les jeunes détenus sont rarement interrogés sur leur vie affective, amoureuse et/ou sexuelle. Cette enquête qualitative originale, menée pendant un an dans cinq prisons pour mineurs en France métropolitaine, montre la diversité des expériences des filles et des garçons incarcérés en matière d’intimité et de gestion de la sexualité, dans et hors les murs. Elle souligne une grande proximité des parcours sexuels et affectifs de ces jeunes avec les « autres jeunes » de leur génération et de leur milieu social, bien que la détention produise des effets singuliers sur leurs parcours.

Dans le cadre du colloque PHILADO sur le phénomène d’emprise, le 13 Janvier 2017, Dr Serge HEFEZ, Docteur en médecine, psychiatre des hôpitaux. Psychanalyste et thérapeute familial et conjugal. Responsable de l’Unité de thérapie familiale dans le service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent à La Salpêtrière AP-HP. Depuis 2015, la Préfecture de Paris a mandaté officiellement l’Unité de thérapie familiale du service de psychiatrie de l’enfant de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière pour leur orienter les familles en détresse ayant contacté le numéro vert « Stop djihadisme » ou directement les services de police.

Un rapport du CNRS sur les violences sexuelles à caractère incestueux a été remis le 27 avril 2017 à Laurence Rossignol. La ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes avait saisi le CNRS à cet effet dans le cadre du premier plan de lutte et de mobilisation contre les violences faites aux enfants (2017-2019).

Cette expertise a été établie par un groupe de travail interdisciplinaire composé de spécialistes reconnu.e.s de l’inceste et des violences familiales, chercheur.e.s et universitaires, et piloté par Sylvie Cromer, enseignante-chercheure à l'université de Lille et directrice du GIS CNRS « Institut du Genre ».

Un DVD présente les 11 courts métrages lauréats, sélectionnés par un jury et les internautes. Susceptibles d’être utilisés par les professionnels de santé, sociaux et éducatifs, ils facilitent l’échange sur des thèmes variés tels que la prévention, le dépistage ou encore la discrimination envers les personnes séropositives.

Ces films ont été réalisés par des jeunes de 15 à 25 ans dans le cadre de la troisième édition du concours VIH Pocket Films. Ces derniers ont réfléchi, conçu et réalisé à l’aide de téléphones portables de courtes séquences vidéo de sensibilisation à la problématique du sida. 

Pour recevoir le DVD du concours VIH Pocket Films de l’édition 2015-2016, il suffit de contacter Sidaction à l'adresse mail indiquée sur cette page.

Le 10 avril 2017, la mission de consensus sur le délai de prescription applicable aux crimes sexuels commis sur les mineur.e.s, présidée par Flavie Flament et Jacques Calmettes, a rendu son rapport à la Ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes.
En France métropolitaine, 3,7 % des femmes et 0,6 % des hommes déclarent avoir été victimes de viols ou de tentatives de viol au cours de leur vie. Pour plus de la moitié des femmes et pour les trois quarts des hommes victimes, cette agression a eu lieu alors qu’elle ou il était âgé.e de moins de 18 ans. Pour les femmes comme pour les hommes, le cercle familial et proche est la première sphère de vie où ont lieu les viols et les tentatives de viol. Ainsi, 1,6 % des femmes ont subi au cours de leur vie au moins une forme de violences sexuelles au sein de la sphère familiale ou proche...

Les 5 points clés présentent les nouvelles découvertes de séropositivité chez les jeunes, notamment chez les jeunes HSH (Hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes) ; le mode de contamination des jeunes femmes, les représentations du VIH/sida chez les jeunes ; l'usage du préservatif lors du premier rapport sexuel dans cette population.