Youth Wiki est une encyclopédie européenne des politiques de jeunesse. 

Depuis cette plate-forme, 27 pays partagent leur politique nationale, l'état d'avancement des réformes et des initiatives. Ce qui permet d'alimenter la réflexion entre les Etats membres pour nourrir la stratégie jeunesse  et soutenir la coopération européenne dans le domaine de la jeunesse.

Cet atlas constitue une base de données territorialisées en santé mentale.

Il rassemble plus de 350 indicateurs pouvant être mobilisés dans l’élaboration et le suivi des diagnostics de santé partagés des projets territoriaux en santé mentale. 

Il sera complété par la publication de l’ouvrage « L’Atlas de la santé mentale en France » coédité par l’Irdes et la Drees. Cet ouvrage proposera une analyse des disparités territoriales en termes d’offre, de recours aux soins ou de besoins.

Atlas interactif de la santé mentale en France

 

Laurent Bonelli et Fabien Carrié, sociologues et chercheurs, se sont intéressés aux différentes manières de s'approprier une forme de radicalisation et aux conditions sociales qui les produisent. Ils ont procédé à une enquête sur les jeunes suivis par la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ).

Les conclusions de leur travail montrent que le profil des mineurs radicalisés ne correspond pas à tous les a priori associant très souvent radicalisation, précarité et délinquance et met en évidence d'autres mécanismes.

Devant l’augmentation du nombre de mineurs privés de liberté, la Garde des sceaux a saisi la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) en novembre 2017. Dans son avis, la CNCDH appelle l’Etat à revoir en profondeur la justice pénale des mineurs pour que l’éducatif prime à nouveau sur le répressif, et à redonner toute sa place au milieu ouvert.

La Commission nationale consultative des droits de l'homme constate en effet que "paradoxalement, alors que la délinquance des mineurs n’augmente pas, la réponse pénale, notamment par l’augmentation du nombre de mineurs privés de liberté, ne cesse de se durcir". 

Le Psycom est un organisme public d'information, de formation et de lutte contre la stigmatisation en santé mentale. Il aide à mieux comprendre les troubles psychiques, leurs traitements et l’organisation des soins psychiatriques.

Ses documents, ses actions de sensibilisation et ses formations s’adressent à toute personne concernée par les questions de santé mentale (patients, proches, professionnels de santé, du social, du médico-social, de l’éducatif, de la justice, élus, journalistes, etc.).

Les Maisons des adolescents organisent l'accueil, l'orientation, la prise en charge et l'accompagnement des adolescents sur l'ensemble du territoire.

Elles assurent l'accueil de l'entourage familial et apportent un soutien et une expertise aux professionnels intervenant dans le champ de l'adolescence.

Le cahier des charges, élaboré en 2005, a servi de support à un programme de développement mené par le ministère de la santé. La circulaire relative à l'actualisation du cahier des charges des Maisons des adolescents vise à consolider le dispositif existant et à renforcer sa dimension partenariale, afin de garantir la mise en œuvre de l'ensemble de leurs missions et l'égal accès aux soins sur l'ensemble du territoire national.

Lorsque l'adolescent souffre, il va tenter par tous les moyens de mettre un terme à cette souffrance, de rompre avec elle. Ces tentatives se manifestent par des comportements de rupture : se casser, se déchirer, casser, se couper... Autrement dit, il va fuguer, abuser d'alcool, de drogues, se mutiler...

Tous ces signes de souffrance doivent interpeller les adultes, d'autant plus s'ils se combinent.

Un entretien avec Xavier Pommereau,  psychiatre, spécialiste de l'adolescence, tourné à l’occasion du colloque « JEUNES EN MAL-ÊTRE ET CONDUITES À RISQUE » organisé par le Centre de prévention du suicide et d’accompagnement le jeudi 26 octobre 2017 à Saint-Servais. (02:50)

 

En famille, ça ne baigne pas tous les jours ? Vous n’avez pas le truc avec vos ados ? Ils vous marchent parfois sur la tête?  Vous ne savez plus quoi faire ? Vous n’êtes pas les seuls. Ce livre vous est destiné.

Ce livre ne donne pas de recettes. Tout juste quelques points de repères, témoignages, idées à prendre ou à laisser pour continuer à inventer et à réinventer… 

D’où qu’ils viennent, où qu’ils soient, les enfants ont besoin de rêver pour grandir.
Internet, réseaux sociaux, jeux vidéos autant d’occupations que les enfants et les adolescents ont désormais à portée de mains et qui ne leur laissent plus beaucoup d’occasions de rêver.

La rêverie et l’ennui sont des moments très rares, trop rares. Et pourtant, ils en ont besoin !
La rêverie et l’ennui permettent à l’imagination de se développer et fortifie les enfants et leurs permettent de se construire.

Dans cet avis publié au Journal Officiel, le Conseil économique social et environnemental pointe "le contraste entre les objectifs qui sont donnés à la santé à l’école et les moyens dont cette politique est dotée apparaît d’autant plus grand que les textes officiels se sont additionnés, réitérant régulièrement la volonté des pouvoirs publics d’en faire une priorité."